Chamonix, quand tu nous tiens !

Chamonix ! Des kilomètres de falaises de granit et de gneiss, le paradis de tous les fans d’escalade ! Une destination obligée pour nos Aspaliens, groupies de la grimpe. Et c’est une belle brochette qui a eu le plaisir et la chance d’aller tâter ce beau rocher : Yonathan, Stéphane, Sébastien, Vincent, Kevin, Long, Gilles et Magali. Ce super séjour Chamoniard a été organisé et géré avec brio par Benoit aidé de Thierry, un binôme d’encadrants au top !

Et comme chaque fois à l’Aspala, l’histoire de débute de la même manière :

« Il était une fois au parking de la Croix de Berny… » dix Aspaliens parés à partir vers une nouvelle aventure de grimpe ! Après quelles heures de route, les voilà enfin arrivés au gîte de Tupilak les Méandres aux Houches. A peine le temps de chausser des crocs les voici attablés pour déguster une délicieuse crouziflette. Le ton est donné ! Pour faire honneur chaque soir aux bons plats du gîte, va falloir se donner à fond la journée !

Vendredi matin, après une nuit pluvieuse, la journée s’annonce brumeuse mais rien ne peut venir entacher la motivation de nos grimpeurs ! Les yeux encore tout ensommeillés et pétillants d’excitation, direction le télécabine de Planpraz pour rejoindre le clocher de Planpraz à plus de 2000 m d’altitude.

Le groupe se scinde en deux pour arpenter d’un côté la voie Cocher-Cochon et de l’autre celle de Label Virginie. Deux magnifiques voies typées montagne en 9 longueurs qui se rejoignent sur le vertigineux sommet du Clocher. Chacun prend plaisir à grimper, la tête dans la brume et des étoiles plein les yeux. Il est temps de redescendre au pas de course pour ne pas manquer la dernière benne. Ouf ! Pas besoin de descendre à pieds, tant mieux car les jambes tirent un peu quand même.

   

Direction Chamonix pour aller trinquer à cette belle première journée. L’occasion pour chacun de parler de ses sensations de grimpe et d’imaginer déjà la prochaine voie à gravir. Retour au gîte où les plats de lasagnes sont engloutis arrosés de breuvages qui apportent une jolie couleur rosée aux joues de nos grimpeurs. Il est temps d’aller se coucher pour recharger les batteries !

Samedi : c’est une belle journée ensoleillée qui s’annonce ! Nos grimpeurs ont la pêche malgré quelques tiraillements musculaires. Après un bon petit-déjeuner, c’est parti pour les Chéserys à proximité du Col des Montets, suite de belles dalles en gneiss sous les Aiguilles Rouges. Après une belle marche sur 500m de dénivelé, nos Aspaliens sont réchauffés et bien en jambes pour se lancer dans les voies.

L’arrivée aux pieds des dalles offre un paysage à couper le souffle ! Difficile de décrocher les yeux de la vue magnifique sur le massif du Mont Blanc ! Ces falaises hautes de 150m en moyenne sont sillonnées de longues voies ne faisant pas plus de 5 longueurs. Juste ce qu’il faut pour en enchainer deux dans la journée.

            

Plusieurs cordées se forment et partent explorer ce grand terrain de jeu: la voie bleue avec son superbe dièdre qui nécessite de beaux placements de pieds, la voie jaune avec ses pas durs en dalle, la voie de l’EMHM avec une de ses longueurs bien gazeuse et enfin la voie Dune avec ses pas bien techniques et sa dernière longueur en 6b.

Après plusieurs descentes en rappel, les pieds rejoignent la terre ferme, il est temps pour nos grimpeurs d’amorcer la descente du sentier pour arriver à l’heure au souper.

Dimanche : dernier jour. Direction le secteur du Brévent. Après une marche bien énergique sur une piste de ski ascendante le groupe se sépare en deux.

Thierry, Vincent, Mag, Seb, Stéphane et Gilles attaquent la Crakoukass. La première longueur en 5c est assez raide avec deux pas bien techniques. Ça réveil ! Les autres longueurs suivantes s’enchainent bien jusqu’à la dernière en 6B qui nécessitera un peu plus d’huile de coude pour passer son Dülfer bien physique. Le deuxième groupe constitué de Benoit, Kevin, Yonathan et Long part arpenter la Somone, une belle voie avec ses longueurs en dalle, son dièdre/cheminée, sa fissure…bref, de quoi travailler toutes les techniques de grimpe. Nos grimpeurs amateurs sont maintenant bien rodés !

La journée se termine. ..Tout le monde se retrouve au pied de la télécabine, le sourire jusqu’aux oreilles. Le temps de faire une belle photo de groupe et il faut déjà partir.
Nos Aspaliens sont un peu tristes de quitter ces belles montagnes mais tellement fiers et heureux de ce séjour magnifique à Chamonix.

Encore un grand merci à Benoit et Thierry pour cette aventure magnifique !

Les jeunes à l’assaut des blocs Fontainebleau

 
Ils ont découvert l’escalade sur les prises en résine du mur de l’Aspala, il était urgent qu’ils découvrent les joies de la grimpe sur rocher naturel. C’est chose faite depuis ce premier dimanche de juin. 5 jeunes grimpeurs du club ont participé à la sortie organisée dans la forêt des Trois Pignons sur les rochers mythiques de Fontainebleau.
 

Pas de corde, de baudrier ni de mousqueton. Juste leurs chaussons, et le plaisir de résoudre les énigmes que leur proposaient les blocs en grès du secteur 91.1, particulièrement adapté aux enfants avec un circuit jaune et orange accessible et ludique.

 

Après un échauffement complet, les enfants ont appris à poser les pieds sur des prises parfois minuscules, à faire des adhérences, et à comprendre comment passer les difficultés en « lisant » les blocs.

 
Ils se sont confrontés à leur peur de tomber, même si les « crashpad » (ces tapis de réception en mousse) et des pareurs étaient là pour les rassurer.
 
 

 

Les jeunes se sont amusés à passer dans des tunnels naturels formés par le rocher, ou à sauter au-dessus du vide entre deux blocs. Emotions garanties pour ces Bleausards en herbe, qui ont  terminé la journée par une petite initiation à la slackline.

 
Mon petit doigt me dit qu’ils ont dû bien dormir en rentrant…
 

 

Vieux Château, jeunesse éternelle

A l’Aspala, qui dit dit Pentecôte dit Vieux Château, qui dit Vieux Château dit Pentecôte. C’est comme ça. Une tradition immuable, vieille de 300 ans racontent les anciens du club, le soir au coin du feu, une étincelle dans les yeux.

Pour les nouveaux, ce pèlerinage annuel est presque un passage obligé pour être intronisé dans la grande confrérie du bretzel, une forme de bizutage un peu mystique en pays bourguignon.Et c’est vrai que cette édition 2018 a été à la hauteur de sa réputation : une quarantaine d’Aspalien.ne.s assoiffée de grimpe est partie pendant 3 jours à l’assaut de la falaise granitique de Vieux Château. Et quand on connaît notre discrétion légendaire, on imagine aisément la tête des autres grimpeurs venus se ressourcer dans ce petit coin de nature en nous voyant arriver avec notre douzaine de cordes et nos 120 dégaines… Ce havre de paix bucolique s’est vite transformé en camp de base bruyant. Tels des fourmis, nous avons méthodiquement ratissé la plupart des voies du secteur, de « l’Autoroute du sud » à la « Titi » jusqu’aux voies du fond en bord de rivière. D’ailleurs pour Philippe et Lucas, l’occasion était trop belle pour ne pas se baigner dans le Serein (on ne parle pas de Thierry bien sûr).

Mais la réputation sulfureuse de la sortie de Vieux Château est d’abord liée à ses soirées endiablées sur l’aire de camping de Montberthault : en voyant les tentes pousser comme des champignons dans l’herbe grasse des bords de Serein, on comprend que le club a ses habitudes ici. Et en moins de temps qu’il ne faut pour dire « relais vaché », le barbecue est lancé, les salades sont prêtes, le couvert est mis… et la bière coule à flots. Ici, le mot « sec ! » n’a pas la même signification qu’en escalade, et à chaque fois qu’on le prononce, des collègues bien intentionnés accourent pour remplir ton gobelet de breuvages magiques…
 
 
 
C’est aussi une sortie familiale, où les enfants gambadent au milieu des tentes, où les grands s’essayent à la slackline et au jeu de palet. Tout le monde a conscience qu’il faut beaucoup se dépenser pour justifier l’orgie de viande grillée qui va suivre. Des montagnes de côtes de porc sont englouties par nos bouches affamées, une pluie de chipolatas s’abat sur les deux grandes tables dressées sous le préau, et sont avalées par dizaine par les plus voraces. Certaines scènes trop violentes sont ici coupées pour épargner les âmes sensibles.
 
 
 
Dans la nuit sombre et fraîche, c’est l’heure où les grimpeurs enfilent leur doudoune, leur polaire, voire même leur couette pour certaines. C’est aussi l’heure où certains hommes se transforment en créatures hybrides, mi-bûcheron mi-cheval de trait, capables de raser un demi-hectare de végétation pour chauffer le corps et le coeur des noctambules.L’Aspalien.ne a de la ressource, et après une nuit réparatrice (c’est-à-dire humide dans un duvet trop fin à greloter jusqu’au matin), il garde le rythme pour une nouvelle journée de grimpe et de bonne humeur.
 
 
 
La dernière soirée à Vieux Château fera partie des grands crus comme seule la Bourgogne peut en produire : une flambée à faire pâlir nos anciens moniteurs de colonies de vacances, et un blind test endiablé où l’on découvrira qu’Urara se souvient parfaitement de Des’ree, Sophie & Fanny sont fan de Lauryn Hill, Magali N. maîtrise la Mano Negra sur le bout des doigts, et Emmanuelle a écouté Céline Dion en boucle pendant son adolescence.Pendant ce temps-là, Thierry, Lucas et Damien (leur nouvelle recrue inarrêtable), transformés en bêtes de somme, continuent de déboiser la forêt de Montberthault pour nourrir les flammes toujours plus hautes de notre brasier. Mais comment font-ils pour tenir ce rythme infernal me direz-vous ???! Grâce à une mixture secrète, savant mélange de merguez et de Ricard, que les Aspaliens se transmettent de génération en génération… Mais attention, les effets secondaires sont terribles : il arrive souvent qu’on se mette à chanter des comptines pour enfants et des joyeux anniversaire jusque tard dans la nuit, près des tentes…
 

 
Heureusement, tout est rentré dans l’ordre le lendemain, et la menace d’un orage a douché les espoirs des derniers courageux partis s’aventurer dans les ultimes voies du week-end. Tout le monde est rentré (sain) et sauf, ce qui constitue, en soi, une excellente nouvelle !Bravo à tou.te.s !
 
  

Journée porte ouverte

Notre club organise le samedi 16 juin 2018 une animation découverte de l’escalade sur la place du marché d’Antony, de 10h à 17h. Un mur d’escalade mobile y sera installé pour faire découvrir la pratique au plus grand nombre, enfants comme adultes.

Le mur mesure 8 mètres de haut, on peut y grimper à 6 en même temps.

La pratique sera bien sûr encadrée en toute sécurité par Jérémie, notre moniteur d’escalade, ainsi que par des encadrants bénévoles du club.

Les pratiquants pourront s’exercer sur une ou plusieurs voies en fonction de l’affluence et de la motivation de chacun. Le matériel de sécurité sera prêté, mais pas les chaussons d’escalade. Les personnes intéressées peuvent venir avec leurs propres chaussons ou chaussures de sport.

Je ne vous jette pas la pierre Orpierre

Orpierre, c’était un peu le festival de Cannes de l’Aspala : LA sortie à ne pas rater de l’année, avec sa sélection officielle (la crème de la crème du club) et la non-officielle (vachement moins glamour évidemment).

C’était surtout la promesse de belles voies bien équipées, d’apéros festifs, et de beaux cailloux gorgés de soleil. Sur ce dernier point nous avons douté jusqu’au bout. La météo s’annonçait capricieuse et incertaine jusqu’à la veille du départ.

C’est finalement par une inespérée journée ensoleillée que nous avons entamé les hostilités, au secteur Cascade et Belleric. Après avoir copieusement tartiné nos fragiles épaules de crème solaire, nous voilà fin prêts pour graisser les prises de nos doigts fébriles. Un dernier rappel sur les consignes de sécurité, les manip’ de haut de voie et nous voilà parti à l’assaut de la falaise ! C’était pour certain.e.s la première sortie en site naturel de leur vie, et pour tous l’occasion de se mettre dans l’ambiance de ce cadre magnifique et de chauffer en douceur, dans des voies allant du 4 au 6ème degré.

Les machines Mathilde B et Alexandre ont enchaîné les voies comme des perles. Mathilde G et Jérémy se sont familiarisé avec le calcaire local, pestant parfois contre des « toits insurmontables », pendant que Thierry et Benoît ont initié les plus motivés comme Long aux voies de plusieurs longueurs et au rappel. Magali N a retrouvé les sensations incomparables de grimper sur du vrai rocher. Pleine de bonnes résolutions, Johanne a commencé en tête avant de revoir ses prétentions à la baisse sur une voie plus récalcitrante que prévue. Patrick s’est remémoré avec bonheur son premier séjour ici dans les années 90. Romain s’est rendu compte que l’escalade sur rocher n’était pas aussi intuitive pour lui que de courir 80 kilomètres comme un lapin. Juliette et Kevin ont grimpé autant de jour que de nuit ;)… Bref, tout le monde s’est bien amusé, et ce n’était que le début…

Le soir, fourbus, en nous attablant au gîte Les Drailles, nous avons découvert les joies du banquet gaulois façon Pierre-Yves Beauchaton. Le maître des lieux est à la fois équipeur de la falaise, grimpeur émérite, et cuisinier de talent… le mec parfait.

Ce copieux repas aurait pu nous permettre de dormir paisiblement dans le silence d’une douce nuit à la campagne. C’était sans compter sur les prises de paroles nocturnes d’Alexandre, qui revit dans son sommeil les meilleurs moments de sa journée… à voix haute. Mais tout le monde n’a pas eu la chance de dormir à ses côtés…

Deuxième journée, les choses sérieuses commencent : les infatigables Mathilde B et Long partent de bon matin avec Benoît et Thierry pour s’initier à la grande voie, pendant que le reste du groupe s’échauffe en ouvrant alternativement la paupière gauche et la paupière droite. Après ce réveil musculaire complété à la caféine, nous voilà partis au secteur 4 heures Ouest, sous un soleil de plomb. Heureusement nous sommes les premiers sur site car des hordes de barb… grimpeurs arrivent peu après nous à la recherche de voies aux cotations « accueillantes ». Trop tard. La fine fleur de l’Aspala a déjà hissé ses cordes aux sommets de toutes les plus belles couennes locales. J’en profite pour me vacher au sommet avec mon appareil photo et immortaliser chacun dans des poses toujours plus acrobatiques. Nous finissons cette séance clic-clac complètement desséchés, et décidons de partir à la recherche d’ombre et de fraîcheur pour la pause déjeuner.

Orage ô désespoir

En début d’après-midi, alors que les Aspalien.ne.s digèrent leurs casse-croûtes sur les dalles inclinées du secteur 4 heures Est, une « cellule orageuse » (dixit Jérémy, notre prévisionniste météo AMATEUR) surgit au-dessus de nos têtes, trempe le rocher, et transforme les modestes 4b en patinoires verticales frisant le 8ème degré. Les grimpeurs coincés au milieu de la paroi, comme Romain, ont apprécié…

Heureusement, le repli stratégique au bar Le Quartz a permis de noyer notre chagrin et notre frustration dans l’alcool, avant de se ressaisir et de se lancer dans une session pétanque & slackline mémorable.

Troisième jour. Ça commence à tirer. Sauf pour Romain qui prétexte d’aller chercher le pain à 6 heures du matin pour s’enquiller 10 kilomètres de course à pieds en guise de petit-déjeuner. S’ensuit un nouveau départ aux aurores, car Jérémy, stagiaire Météo France débauché par l’Aspala, nous indique des « cellules inquiétantes » pour le début d’après-midi. Direction les secteurs des Dalles du Paradis et de l’Eternel féminin. Les voies s’enchaînent à un bon rythme, au milieu des nombreux groupes de grimpeurs, de Bretagne, de Belgique, de Paris 20ème, venus comme nous profiter des ponts du mois de mai pour échapper aux sempiternelles prises en résines.

Tout allait bien : Thierry tentaient en vain de convaincre le groupe de tester en moulinette une « très belle 6A » que personne ne parvenait à enchaîner… Jusqu’à ce que les prévisions de Jérémy se vérifient et se révèlent -étonnamment- fiables. A peine le temps de déballer le jambon-beurre de la mi-journée qu’une douche digne de la mousson tropicale nous oblige à remballer précipitamment. Encore une bonne excuse pour finir attablé au Quartz à enchaîner les Picon bière dès 14h…

Une fois l’orage passé, et les pintes vidées, une poignée d’irréductibles grimpeurs décide de partir en découdre au Puy, un secteur abrité de la pluie car déversant. La fin d’après-midi est donc consacrée à se remplir les avant-bras d’acide lactique dans des voies bien physiques. Une ultime averse nous incite à rentrer au gîte où nous attend un dîner toujours plus gargantuesque :
Pizzas blanches chèvres-miel, lasagnes, patates douces à la coriandre… On commence à comprendre pourquoi nos performances sur le rocher baissent chaque jour un peu plus. Heureusement Alexandre, le GO du groupe, mange pour 4, finit les restes et nous aide à digérer en nous offrant un hilarant spectacle comique avec son binôme Mathilde B. Ce sont un peu les Chevalier Laspallès de l’Aspala.

Dernier jour de grimpe, nous nous dirigeons vers le secteur Château en espérant que le rocher ne soit pas trop mouillé par la pluie de la veille. Notre voeu n’est qu’à moitié exaucé, puisqu’une voie sur deux se révèle impraticable. Difficile de faire la fine bouche, nous nous contentons du reste pour user le peu de peau qu’il nous reste sur les doigts, avant de plier bagage à la mi-journée.

Ces quatre jours de grimpe auront donc été parfaitement optimisés, chacun a pu se faire plaisir sur des voies adaptées à son niveau. En résumé, un séjour qui sentait bon la bonne humeur, le thym, la pétanque, la poésie… et la douceur de vivre provençale.

Mais n’oublions pas nos copains Aspaliens de la sortie « non officielle » qui eux aussi ont pu goûter aux joies de la grimpe à Orpierre.

A quelques kilomètres du gîte où les membres de la sortie « officielle » avaient établi leur camp de base, un autre groupe d’une dizaine d’aspaliens a élu domicile au lieu dit du « Jonchier ».

Pendant quatre jours, ils ont alterné les escalades mythiques dans les secteurs d’Orpierre. A Belleric, Château, Cascade et 4 heures pour les couennes, au Quiquillon pour les grandes voies, mais aussi au Puits, cette falaise déversante bien utile lors des jours pluvieux, quand les autres falaises ne sont pas grimpables !

D’autres moments de cohésion ont également ponctué le séjour : des barbecues, une soirée pizza au bar-restaurant le Quartz III, des soirées (un peu) arrosées… et bien sûr les retrouvailles – autour d’un verre ou au pied des voies – entre membres de la sortie « officielle » et membres de la sortie « non officielle ». Comme on dit : plus on est de fous, plus on rit !